Demain, vacances, donc reprise du tournage fin août !
Merci de patienter jusqu’à la rentrée pour avoir, vous aussi, votre pendule personnalisé
Voici les derniers tournés :
Martine en poirier
François en houx
Demain, vacances, donc reprise du tournage fin août !
Merci de patienter jusqu’à la rentrée pour avoir, vous aussi, votre pendule personnalisé
Voici les derniers tournés :
Martine en poirier
François en houx
Cette idée est survenue comme une évidence après ma guérison du dos miraculeuse en l’église romane de Saint-Côme de Fresné le 24 mai 2019, jour de la fête de Saint Zoël avant l’heure : je ne savais même pas alors qui était Saint Côme, et pourtant il a exaucé ma requête !
Dès le Ve siècle, on trouve, en Orient et à Rome, des basiliques, des oratoires, des hôpitaux qui portent leurs noms. Ils étaient frères jumeaux, venus d’Arabie en Cilicie (province romaine du sud de l’Asie Mineure). Leur profession de médecin leur fournit l’occasion d’exercer un véritable apostolat ; car à travers les corps ils savaient voir les âmes, les toucher, les convertir. La grâce divine vint relever leur science par le don des guérisons miraculeuses : de toutes parts, on accourait à eux pour obtenir la délivrance des maux les plus invétérés et les plus incurables. Le résultat ne trompait jamais leur foi et leur confiance, et il ne se passait pas de jour sans qu’ils eussent opéré quelque cure souvent désespérée. Auprès d’eux, les aveugles recouvraient la vue, les boiteux marchaient droit, les sourds entendaient, les estropiés étaient guéris. Leur puissance s’étendait même au-delà de ce monde visible, et, à leur voix, les démons abandonnaient leurs victimes. Tout cela, ils le faisaient par pure charité, ne recevant jamais aucune rétribution. On les avait surnommés anargyres (sans argent).
La visite guidée en la Cathédrale de Sées est donc prévue, si Dieu le veut, à l’hiver 2020 pour quelques invités qui y seront prêts.
En effet, selon Jean-Pierre Duroy, qui porte une dévotion toute particulière à cette cathédrale :
La cathédrale de Sées est la seizième Notre-Dame sur le chemin de la Lumière. En elle, la Lumière irradie et transcende celui qui a suivi le chemin…
Sées est un aboutissement. C’est cette Cathédrale et elle seule en France qui permet à l’Homme de prendre son ultime dimension, c’est elle qui le porte vers l’Esprit et le mène vers la Lumière. C’est un ascenseur, l’ascenseur de l’Initié, c’est-à-dire celui qui a cherché et cheminé est qui arrive au terme de sa « queste ».
Il est dit également que :
La rosace nord éclaire le bras nord du transept d’une lumière particulière : la « lumière bleue ». Il faut la voir lorsque au mois de juin, où mieux encore au mois de décembre, le jour tombe. La lumière passe alors du bleu rayonnant au bleu-argent, puis finit en bleu nuit parfois teinté juste un instant d’une pointe d’or. Dans cette rosace apparait alors toute l’alchimie symbolique de la transmutation de l’Homme par la Résurrection.
Afin d’appeler la lumière bleue et la lumière d’or, je me suis mis en queste des plantes qui s’allieraient à nous pour emprunter cet ascenseur de l’Initié.
Lors d’une visite en pépinière lundi 8 juillet, j’ai froissé tout le jour des feuilles plumeuses de Camomille et humé leur parfum de pomme, mon intuition (ou plutôt l’Esprit Universel comme le nomme P. B.) m’ayant soufflé que son élixir m’apporterait la « lumière bleue ».
Ne sachant que peu de chose sur les élixirs, c’est confiant envers l’expérience de Viviane Le Moullec que j’ai acheté son livre pour guider mes premières préparations ; livre reçu jeudi 11 juillet, et dans lequel je découvre au chapitre Camomille :
Elle vous enverra un aperçu de l’Autre Monde… les gens qui ont expérimenté la Camomille ont souvent perçu une lumière d’un bleu à la fois vif et doux comme du satin qui les a réconforté. La Camomille fait ainsi savoir que sa parure subtile est bien plus éclatante que sa discrète livrée matérielle.
Et finalement, samedi 13 juillet, c’est la « pointe d’or » que j’ai préféré appeler en premier.
J’ai donc cueilli sur la digue en rive droite de l’estuaire de la Dives quelques hampes fleuries de Gaude.
La Gaude n’est pas connue pour ses vertus officinales, mais tinctoriales : le Reseda luteola est le réséda des teinturiers, ou herbe à jaunir (reseda du latin re/sedare, apaiser).
Dans le dictionnaire des plantes médicinales du chanoine Paul-Victor Fournier publié en 1947, une véritable bible pour tous les amateurs de soins par les plantes, il est cependant indiqué que la Gaude était regardée comme diurétique, sudorifique et vermifuge.
Mais comme notre bon Saint-Gaud qui guérit de tous les maux, mon petit doigt me dit que dame Gaude possède les mêmes vertus, une fois transformée en élixir par le Solve et Coagula spagyrique.
Gaud et Gaude viennent du latin waldus, qui signifie bois, et rappelez vous que Saint Gaud d’un coup du bois de son bâton a fait jaillir une fontaine d’un caillou, et l’a rendue minérale et dotée de moult vertus thérapeutiques !
Voici donc la station de ma cueillette, débutée après avoir reçu réponse favorable à mon ora de participation active à l’Esprit de la Gaude.
J’ai également ramassé sur la digue en remblai ce caillou qui m’appelait : modeste bétyle, cette pierre noire accompagnerait l’opération du Solve. Son aspect de pierre vitrifiée rappelle l’obsidienne, connue pour son ouverture au monde céleste et la communication avec le monde parallèle.
En réalité cette pierre est un résidu de fonderie, fréquemment utilisé en remblai en Normandie et nommée ici une cline… c’est bien de commencer l’opération en étant « clean »
Explication de France Poulain, architecte qui tient un blog passionnant :
Il est possible de voir au sol des cimetières ou sur les façades de quelques maisons des pierres bleutées turquoise, aux couleurs changeantes et aux arrêtes tranchantes. Il s’agit de cline qui correspond au « laitier de fonderie », le résidu qui coule lorsque l’on ajoute du calcaire pendant la cuisson du minerai. L’apport de calcaire permettait de réaliser la fusion du minerai à une température moins élevée et d’augmenter le rendement. Le résidu très chaud coulait sous la forge et constituait une sorte de verre qui se solidifiait progressivement. Cela explique les différences dans la nature même des échantillons que l’on trouve aujourd’hui : certains sont très sombres, quasiment noir, d’autres bleu foncé, bleu azur, turquoise quasiment vert… avec des bulles dans certains cas ou des restes de sables pas encore complètement fondus. Parfois pour les morceaux de grande tailles, il est possible de voir les couches successives.
Ce résidu de vitrification est lié à l’implantation des premières fonderies de la période gallo-romaine jusqu’au 18ème siècle et les évolutions techniques de la période proto-industrielle.
Après ma récolte de matière première, j’ai donc séparé les fleurs et graines de la tige florale, et mis en bocal pour une macération à l’alcool de fruit pour capter le volatil.
La phase de Calcination sera entreprise le 15 août prochain.
Et pour permettre cela, en parcourant dimanche 14 juillet la foire à tout au grand trot (pour revenir à temps partager l’apéro en famille), j’ai été appelé par une casserole sur laquelle j’ai posé les yeux, la vendeuse sans que je lui demande m’a dit cela fait deux euros, j’ai répondu cela fait deux heureux…
et évidemment elle est en fonte « Le Creuset » !
To be continued…
Au village de Gaud, le 16 juillet 2019, par nuit de pleine lune éclipsée
Vous avez entendu parler du yard mégalithique ?
Ce serait selon certains, dont Alexander Thom qui l’étudia dans les années 50-60, une unité de mesure de longueur des bâtisseurs de cromlech d’Europe occidentale.
Si cette unité de mesure est contestée, je vais quand même la passer au crible de ma coudée sacrée !
Tout d’abord, le yard anglais (la verge en français) est une unité qui vaut 3 pieds.
Un pied vaut 0,3048 m, un yard vaut donc 0,9144 m.
Mais le yard mégalithique ne vaut que 2,7207 pieds, soit 0,8293 m.
Pourquoi 2,7207 ?
Cette valeur est par exemple celle du grand côté d’un triangle rectangle, dont l’hypoténuse est Pi et le petit côté Pi/2 :
Ou encore, si le côté de ce triangle équilatéral vert vaut 0,5 alors la circonférence du cercle rouge vaut 2,7207 :
Sa vraie valeur est de : Pi x √3 / 2
Quel rapport entre le yard mégalithique et ma coudée sacrée de 0,4472 m (1/√5) ?
0,8293 m / 0,4472 m = 1,854
Cela me rappelle une unité de mesure terrestre, puisque le mille marin vaut approximativement la longueur d’une minute de latitude à la surface terrestre.
Mais la Terre n’est pas une sphère parfaite car un peu aplatie aux pôles.
Avec une valeur de 1,854 km au lieu de 1,852 km, nous avons un rayon terrestre de 6375 km, ce qui nous place aux tropiques, à la latitude de 23°
Ce mille de 1,854 km, à la latitude des tropiques est plus intéressant que le mille conventionnel de 1,852 km, car aux tropiques, du fait de l’inclinaison de la terre sur son axe, nous pouvons avoir là et nulle part ailleurs sur le globe l’ombre du gnomon vertical nulle à midi au solstice d’été, quand le soleil est réellement au zénith !
Et nous aurions donc un yard mégalithique et une coudée sacrée reliés par un rapport mesurant la terre en un lieu particulier par rapport au soleil, et donc une unité de mesure antique vraisemblable.
Et alors, il faudrait chercher quelques correspondances avec les mesures de sites mégalithiques peu étudiés, comme ceux du Hoggar ou de Taïwan, situés sous le tropique…
Amis explorarpenteurs, prenez la mesure de cette proposition !
9 années séparent ces 2 pendules, et montrent l’évolution de sa propriétaire :
à l’époque du 1er, je me souviens avoir dormi sur le balcon lors du déménagement de la tour en région parisienne…
pour le 2eme, les formes en gestation sont sorties de leur carapace.
On renait de sa conque à Concarneau !
Rare création groupée de 3 pendules pour une même famille :
Le pendule de Sarah-Rebecca est tourné dans du pommier coupé en 2011.
Sous son air doux, il cache une réserve de puissance qui le mène droit au but !
Commentaire reçu : J’ai reçu le pendule que vous avez créé pour moi et je tenais à vous remercier pour votre travail, il me plaît beaucoup ! J’ai bien hâte de m’en servir !
Pendule Sophie en cerisier
Commentaire reçu : Ça y est, il est là. Je le regarde mais rien ne vient et pourtant c’est lui c’est une évidence. Je lui parle et waouh il me répond avant même le moindre mouvement. Nous faisons connaissance …
Je le pose au creux de ma main… Oui je sais, cette forme, cette énergie…
C’est la force, la douceur
C’est le masculin, le féminin…..
C’est L’ÉQUILIBRE
Une merveilleuse aventure commence… 😂
MERCI infiniment.
Sophie (qui vient de rencontrer le père Noël en mai !!!)
Pendule Seb le guyanais en hêtre
Pendule Marie-Hélène en pommier
Pendule Sylvaine en cerisier à fleur
Pendule Nicoleta en houx
Carine voulait une poire en hêtre, tête en bas
Maxence voulait un pendule inspiré de celui de Jérémie, et m’a fourni pour cela un morceau d’aubépine
Pendule Audrey en houx
Pendule Corinne en hêtre
Pendule magnifique cadeau surprise pour …. en buis
Pendule Fanchon en houx
Commentaire reçu : J’ai fait bonne réception de mon nouveau pendule en houx, d’une grande fluidité. Avec tous mes remerciements.
Pendule Patrick en genévrier
Commentaire reçu : Merci à vous, je le trouve très joli, et je me sens bien pour travailler avec lui 🙂
Pendule David B. en chêne
Pendule Carole en niangon
Commentaire reçu : Je vous remercie sincèrement pour la réalisation de mon pendule, il est magnifique. Merci d’œuvrer dans ce sens, un travail qui prend tout son sens…
Pendule David L. en cerisier
Commentaire reçu :
Merci infiniment pour ce splendide pendule que je viens de recevoir.
Tu es divinement bien inspiré !!!
( Au niveau de la forme, c’est incroyable que tu aies choisi ce genre de forme, c’est ce que je préfère, je suis scié du moins 10 secondes. Te connaissant, je ne suis pas étonné un brin )
A peine en main, je sentais l’énergie circuler à travers moi (comme un nettoyage de tous mes chakras), une ouverte du 6ème chakra avec des flashs lumineux et le chakra du cœur rayonner à un tel point que j’en ai le sourire depuis plus de trois heures !
Pendules Viviane et Michaël dans le même morceau de pommier
Pendule Adrien en prunier
Commentaire reçu : Je le trouve plutôt beau, je salue ton inspiration et ton esprit créatif. C’est mon unique pendule en bois, je vais donc le bichonner encore plus !
Pendule Nathalie en cerisier
Nathalie ne s’est pas reconnue dans son pendule… il est très important d’être soi-même sur le portrait qui m’est adressé, et non pas d’afficher un sourire de VRP qui a vendu un cours de dessin pour enfant en 12 volumes à une vieille dame !
Pensez-y, le pendule créé sera le reflet de ce que vous avez voulu me montrer (parfois inconsciemment) !
Pendule Christophe en if, un petit bijou !
Commentaire reçu : Merci beaucoup pour ce magnifique compagnon . Dès la prise en main une très belle connections s’est effectuée.
Pendule Stéphanie en prunier
Commentaire reçu : je voulais vous informer que j’avais bien reçu le pendule et vous remercier car j’en suis ravie.
Pendule Nicolas en chêne spécial porteur de lumière sur le chemin…
Pendule Alexandre en pommier (le 1er s’est fendu, celui-ci s’est défendu !)
Pendule Lucile en frêne
Commentaire reçu : Je viens de recevoir le pendule. Il est parfait . Merci beaucoup.
Pendule Maïté en pommier (il part au soleil d’Espagne)
Pendule Astrid en lilas
Pendule Anaïs en cèdre
Pendule Monique en génévrier
Pendule Florent en poirier
Pendule Nathalie en pommier